Traduit
par Seldoon
Il s'en est passé des
choses depuis les débuts d'Offspring dans un garage
il y a près de 20 ans: Ils sont passé des sombres
clubs punks aux stades gigantesques! Aux côtés
de groupes comme green day, ils ont érigé la
bannière du punk rock en haut de l'affiche lors du
boom de l'alternatif des années 90. Le groupe a même
offert 1 million de $a un fan chanceux l'année dernière.
Les choses ont bien changées, c'est sûr.
Néanmoins certaines choses
perdurent. Splinter, le 7e effort studio du groupe, rappel
au monde que malgré les montagnes d'argent ammassé,
de prix obtenu, Dexter et sa bande sont toujours des punkers
dans l'âme. "Da Hui" est un hommage hurlant
a une bande de surfeurs Hawaïens. "The Noose"
nous parle de manière péssimiste de leurs débuts
chez Epitaph et "Can't get my head around you" mélange
des riffs à tendances métal à l'énergie
du punk. C'est l'album le plus proche de leurs années
"Smash" depuis qu'ils ont quitté Epitaph.
Et n'allez pas imaginer que ce retour en arrière est
une surprise pour le groupe.
"Je sais que cette fois,
avant de commencer à écrire, Dexter a réécouté
Smash et même Ignition," dit Noodles. "Il
a réalisé que la plupart des chansons, dans
leurs structure, sont assez simples. Nous nous sommes basé
sur ce principe."
Quittant la joyeuse ambiance
de "Pretty fly" et le côté Hip-Hop
de "Conspiracy of one", Splinter vise une énergie
qui avait quitté le punk vieillissant. Se remémorant
l'excès passé du rock (la single de l'album,
"Hit That", jouant cependant pas mal sur le synthé...!),
Splinter vise un retour aux sources, qui sont les racones
du groupe.
Revenir à une écriture
plus primaire n'a pâs été si facile que
ça pour le groupe qui fait néanmoins des albums
depuis plus d'une décénie. Le groups voulait
à tout prix éviter de recracher du "dejà
fait".
"Je discutais avec John
(McCrea) de Cake, qui m'a dit 'Toutes les routes mennent au
prog-rock.' Ca m'a fait rire," dit Noodles. "Quand
tu commence à avoir du scuccès en tant que musicien,
tu veux montrer tes talents de songwriter et scéniques.
Je ne pense pas que les gens s'attendaient à ça."
"C'est super excitant. C'est
peut dû au fait qu'on ai eu plus de repos qu'avant.
Le fait de l'avoir dans le groupe c'est génial,"
dit Noodles, faisant référence à Atom
W.. "Quand vous jouez avec les mêmes gens pendant
des années, vous finisez par vous lasser."
Pour en revenir à Splinter,
on constate que le marketing n'est pas trop important pour
cet album, ce qui contraste pas mal avec le lancement en grandes
pompes en 2000 de CO1, pendant lequel rappelons le le groupe
avait généreusement offert 1 million de $ a
un fan, et vaient également lutté corps et âmes
contre leur maison de disque qui refusait que le groupe laisse
l'album à télékcharegr sur leur site
web.
Pour cet opus, les efforts sont
resté concentrés sur la musique, globalement.
Suite à leur menace n'appeler leur album "Chinese
democracy", en référence à l'album
toujours attendu des GNR, les avocats d'Axl Rose ont régait
et empeché cela. (on apprendra plus tard qu'il n'en
est rien).
Toujours est il que les Offspring
n'ont pas eu besoin de ça pour faire de Splinter une
victoire. Les groupe se perfecxtionne encore et toujours et
nous offre un album avec la hargne des premiers jours.
"Si vous pensez à
un groupe comme les Ramones, ils jouaient toujours la même
chose, mais ça avait toujours l'air nouveau,"
dit Noodles."C'est ça la clé, faire du
neuf avec du 'toujours pareil'. C'est un challenge de faire
ça, mais c'est dans celui-ci qu'est la récompense."
Matt Schild
[mag.meanstreet.com]